Sharif HAMED 🦖
Fondateur de La Communauté Du Cobol | Ingénieur Concepteur/Développeur COBOL Expérimenté | Spécialiste Banque & Assurance | + 8 ans d’expérienceFondateur de La Communauté Du Cobol | Ingénieur Concepteur/Développeur COBOL Expérimenté | Spécialiste Banque & Assurance | + 8 ans d’expérience

COBOL et Mainframe, une performance qui surpasse souvent les systèmes modernes. Chiffres à l’appui 👇

On pourrait croire que les technologies modernes sont plus performantes… mais COBOL et le Mainframe continuent de surpasser les systèmes récents, et les chiffres parlent d’eux-mêmes.

Voici pourquoi ce duo reste au centre des opérations critiques :

𝟭. 𝗗𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝘂𝗹𝘁𝗿𝗮-𝗿𝗮𝗽𝗶𝗱𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝗺𝗮𝘀𝘀𝗲 📊

Sais-tu que les mainframes IBM peuvent traiter jusqu’à 𝟭,𝟭 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗼𝗻 de transactions par 𝘀𝗲𝗰𝗼𝗻𝗱𝗲 ?

C’est bien plus que ce que la plupart des serveurs modernes peuvent gérer. Ce volume massif est essentiel pour les finances des entreprises et les grandes organisations, où chaque milliseconde compte.

À titre de comparaison, un système basé sur le cloud mettrait bien plus de temps pour atteindre ce même niveau de performance et nécessiterait des ressources beaucoup plus coûteuses.

Petit exemple chiffré :
La performance en nombre de recherche sur Google est de 𝟵𝟵 𝟬𝟬𝟬 par seconde. Soit bien loin du million…

𝟮. 𝗨𝗻𝗲 𝗳𝗶𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲 𝗱𝗲 𝟭𝟬𝟬 % 🔒

Le mainframe est conçu pour fonctionner à 𝟵𝟵,𝟵𝟵𝟵𝟵𝟵 % du temps (ce qui correspond à moins de 𝟱 𝘀𝗲𝗰𝗼𝗻𝗱𝗲𝘀 d’arrêt non programmé par an).

Les entreprises qui gèrent des données critiques, comme les banques ou les assurances, peuvent compter sur cette fiabilité exceptionnelle pour assurer la continuité de leurs opérations.

Dans un environnement cloud ou serveur standard, atteindre ce niveau de disponibilité est complexe et coûteux, nécessitant souvent des systèmes redondants pour combler les faiblesses de performance.

𝟯. 𝗗𝗲𝘀 𝗰𝗼𝘂̂𝘁𝘀 𝗯𝗶𝗲𝗻 𝗲𝗻 𝗱𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝘀𝘆𝘀𝘁𝗲̀𝗺𝗲𝘀 𝗺𝗼𝗱𝗲𝗿𝗻𝗲𝘀 💰

Malgré leur puissance, le mainframe et COBOL restent plus économiques dans la gestion de volumes massifs.

Selon IBM, une entreprise qui déplace des charges de travail intensives vers le cloud pourrait multiplier ses coûts par 3 à 4 fois par rapport au mainframe .

En centralisant la puissance de calcul, le mainframe permet de réduire les coûts d’infrastructure, d’énergie et de gestion, tout en garantissant des performances optimales.

𝟰. 𝗨𝗻𝗲 𝗲𝗺𝗽𝗿𝗲𝗶𝗻𝘁𝗲 𝗰𝗮𝗿𝗯𝗼𝗻𝗲 𝗿𝗲́𝗱𝘂𝗶𝘁𝗲 🌍

En matière de consommation d’énergie, un mainframe moderne est bien plus efficace que des serveurs distribués, notamment pour les applications critiques.

Grâce à son architecture optimisée, il peut effectuer des calculs intensifs avec une consommation d’énergie jusqu’à 𝟳𝟱 % 𝗶𝗻𝗳𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿𝗲 à celle des systèmes distribués équivalents. Un argument fort à l’heure de la transition énergétique. 🌱


COBOL et le Mainframe ne sont pas des reliques, mais bien des solutions qui surpassent souvent les systèmes récents en termes de performance, de coût et de fiabilité.

Là où les autres peinent, ce duo répond présent, année après année, avec des chiffres concrets à l’appui.

#COBOL #Mainframe #Performance

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𝗗𝗮𝗻𝘀 𝘂𝗻 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝗲𝗰𝗵𝗻𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲𝘀 𝗳𝗿𝗮𝗴𝗶𝗹𝗲𝘀, 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 𝗲𝘁 𝗹𝗲 M𝗮𝗶𝗻𝗳𝗿𝗮𝗺𝗲 𝘁𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲𝗻𝘁 𝗯𝗼𝗻 𝗱𝗲𝗽𝘂𝗶𝘀 𝟲𝟬 𝗮𝗻𝘀. 𝗩𝗼𝗶𝗰𝗶 𝗽𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶. 👇

Dans un monde où la technologie évolue constamment, les systèmes modernes sont souvent victimes de 𝗯𝘂𝗴𝘀 ou 𝗱’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗿𝘂𝗽𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗶𝗺𝗽𝗿𝗲́𝘃𝘂𝗲𝘀.

Et pourtant, 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 et le 𝗠𝗮𝗶𝗻𝗳𝗿𝗮𝗺𝗲, eux, continuent de 𝗳𝗼𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗿 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗳𝗮𝗶𝗹𝗹𝗶𝗿, année après année.

Alors, qu’est-ce qui fait de ce duo un choix de confiance pour les applications critiques, 𝗺𝗲̂𝗺𝗲 𝗮𝗽𝗿𝗲̀𝘀 𝟲𝟬 𝗮𝗻𝘀 𝗱’𝗲𝘅𝗶𝘀𝘁𝗲𝗻𝗰𝗲 ?

𝟭. 𝗨𝗻𝗲 𝘀𝘁𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗶𝗻𝗰𝗼𝗺𝗽𝗮𝗿𝗮𝗯𝗹𝗲 💪

COBOL a été conçu pour 𝗱𝘂𝗿𝗲𝗿. Sa syntaxe claire et sa robustesse en font un langage capable de supporter des charges de travail colossales 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗽𝗹𝗮𝗻𝘁𝗮𝗴𝗲𝘀.

Associé au Mainframe, il gère d’énormes volumes de transactions, des opérations bancaires aux paiements en ligne, en passant par les systèmes de sécurité sociale.

Peu de langages et de systèmes peuvent en dire autant.

𝟮. 𝗨𝗻𝗲 𝘀𝗲́𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁𝗲́ 𝗶𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹𝗲́𝗲 🔒

En matière de sécurité, le mainframe et COBOL sont presque 𝗶𝗺𝗯𝗮𝘁𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀. 🥇

Dans les environnements les plus sensibles, comme les banques, les assurances et les administrations, ce duo 𝗴𝗮𝗿𝗮𝗻𝘁𝗶𝘁 confidentialité et sécurité des données, un critère essentiel là où les informations sont critiques.

Là où d’autres technologies se montrent 𝘃𝘂𝗹𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀, COBOL et le Mainframe assurent une 𝗽𝗿𝗼𝘁𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 continue.

Ce duo, c’est la force tranquille de l’informatique. 🧘‍♂️
Un pilier fiable qui a su gagner la 𝗰𝗼𝗻𝗳𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲 des grandes entreprises, non pas par la nouveauté, mais par sa capacité à remplir ses promesses, 𝗺𝗲̂𝗺𝗲 𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻.

👉 𝗗𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗮𝗶𝗻 𝗽𝗼𝘀𝘁, 𝘁𝘂 𝗱𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗿𝗶𝗿𝗮𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝗠𝗮𝗶𝗻𝗳𝗿𝗮𝗺𝗲 𝗲́𝘃𝗼𝗹𝘂𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗿𝗲𝘀𝘁𝗲𝗿 𝗽𝗲𝗿𝘁𝗶𝗻𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗳𝗮𝗰𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗱𝗲́𝗳𝗶𝘀 𝗺𝗼𝗱𝗲𝗿𝗻𝗲𝘀 !

hashtag#Mainframe hashtag#COBOL hashtag#InnovationDurable hashtag#TechnologieIndémodable hashtag#ConfianceActivez pour voir l’image en plus grand.

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𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝗺𝗮𝗶𝗻𝗳𝗿𝗮𝗺𝗲 : 𝗹𝗮 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝘃𝗶𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗮𝗹𝗹𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲… 𝗖𝗲 𝗱𝘂𝗼 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗮 𝗰𝗹𝗲́ 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘂̂𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝗻𝘂𝗺𝗲́𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 !

Remontons un peu dans le temps…

Nous sommes dans les 𝗮𝗻𝗻𝗲́𝗲𝘀 𝟲𝟬, une époque où l’informatique commence à transformer les grandes entreprises.

C’est à ce moment que le 𝗠𝗮𝗶𝗻𝗳𝗿𝗮𝗺𝗲 fait son entrée dans les banques, les assurances et les administrations. Il prend le rôle d’un “𝘀𝘂𝗽𝗲𝗿-𝗼𝗿𝗱𝗶𝗻𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿” capable de gérer d’énormes volumes de données de manière fiable et sécurisée. 🔒

Mais pour exploiter au maximum ces machines, il fallait un 𝗹𝗮𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝘀𝗼𝗶𝘁 𝘀𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲, 𝘀𝗶𝗺𝗽𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗼𝗿𝗶𝗲𝗻𝘁𝗲́ 𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗹𝗮 𝗴𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝗳𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀. 💵

C’est là qu’intervient 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 : conçu pour être compris par les métiers de l’entreprise, il devient le langage de choix pour programmer ces nouveaux géants de l’informatique. 🖥️

En combinant la 𝗽𝘂𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 du Mainframe avec la 𝘀𝘁𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ de COBOL, on a créé un duo capable de gérer les systèmes critiques de l’époque… et ceux même de notre époque aussi !

Ce partenariat a posé les fondations de l’infrastructure informatique mondiale, transformant la manière dont les entreprises gèrent leurs données et leurs transactions. 📊

𝗔𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝗱’𝗵𝘂𝗶, 𝟲𝟬 𝗮𝗻𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝘁𝗮𝗿𝗱, 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗮𝗹𝗹𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗼𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗹𝗮̀, 𝘁𝗼𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗳𝗶𝗮𝗯𝗹𝗲.

Le monde a changé, les technologies se sont multipliées, mais ce duo a su traverser les décennies en s’adaptant, sans jamais perdre en efficacité.

👉 𝗖𝘂𝗿𝗶𝗲𝘂𝘅 𝗱𝗲 𝗱𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘃𝗿𝗶𝗿 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗰𝗲 𝗗𝘂𝗼 𝗮 𝘀𝘂 𝗿𝗲𝘀𝘁𝗲𝗿 𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝘆𝘀𝘁𝗲̀𝗺𝗲𝘀 𝗰𝗿𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 ? 𝗢𝗻 𝗲𝘅𝗽𝗹𝗼𝗿𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗲𝗰𝗿𝗲𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗮𝗹𝗹𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗮𝗶𝗻 𝗽𝗼𝘀𝘁 !

𝗣͟𝗦͟ : Ci-dessous, rare photo d’un développeur COBOL posant fièrement à coté d’un Mainframe en 1959.Activez pour voir l’image en plus grand.

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𝗟𝗲 𝗺𝗮𝗶𝗻𝗳𝗿𝗮𝗺𝗲, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂𝗼𝗶 ?
𝗦𝗽𝗼𝗶𝗹𝗲𝗿 : 𝗶𝗹 𝘀’𝗼𝗰𝗰𝘂𝗽𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝗲𝘀 𝗱𝗼𝗻𝗻𝗲́𝗲𝘀 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝘁𝘂 𝗹𝗲 𝘀𝗮𝗰𝗵𝗲𝘀 !

On parle souvent des ordinateurs, des serveurs, des data centers, mais connais tu le mainframe ?

On pourrait dire que c’est le “𝗴𝗿𝗮𝗻𝗱-𝗽𝗲̀𝗿𝗲” de l’informatique, mais ça ne lui rendrait pas justice !

Alors, qu’est-ce que c’est exactement ?

Un mainframe, c’est un 𝘀𝘂𝗽𝗲𝗿-𝗼𝗿𝗱𝗶𝗻𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿 conçu pour faire le travail de milliers de serveurs. Il est utilisé par les grandes entreprises (banques, assurances, administrations) pour traiter des 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱’𝗼𝗽𝗲́𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝘀𝗲𝗰𝗼𝗻𝗱𝗲… sans jamais s’arrêter ! ⏱️

Imagines un géant ultra-fiable et sécurisé, capable de gérer des transactions bancaires, les informations de sécurité sociale, les systèmes de retraite, etc., le tout 𝗲𝗻 𝗺𝗲̂𝗺𝗲 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀, sans faiblir.

Mais du coup, pourquoi ne l’utilise-t-on pas dans toutes les entreprises alors ? 🤔

Parce que le mainframe est un 𝘀𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝘁𝗲 : il excelle dans les tâches complexes et massives qui demandent une fiabilité absolue, mais il est surtout fait pour les environnements critiques.

En gros, c’est l’équivalent de la 𝗥𝗼𝗹𝗹𝘀-𝗥𝗼𝘆𝗰𝗲 pour les ordinateurs. 🏎️

Depuis plus de 60 ans, il assure les opérations lourdes de 𝗹’𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗶𝗮𝗹𝗲.

Pour faire simple, le mainframe, c’est la 𝗰𝗼𝗹𝗼𝗻𝗻𝗲 𝘃𝗲𝗿𝘁𝗲́𝗯𝗿𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 d’entreprise. Il est peut-être discret, mais sans lui, notre quotidien numérique serait bien plus instable !

Dans les prochains posts, on va découvrir comment le mainframe, associé au langage COBOL, continue de faire tourner notre monde avec une fiabilité exceptionnelle !

#COBOL #Mainframe #SuperOrdinateur #Informatique #IBM

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𝗤𝘂𝗶 𝘁’𝗮𝗰𝗰𝗼𝗺𝗽𝗮𝗴𝗻𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗰𝗵𝗮𝗾𝘂𝗲 𝗿𝗲𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗮𝘂 𝗱𝗶𝘀𝘁𝗿𝗶𝗯𝘂𝘁𝗲𝘂𝗿 ? 𝗦𝗽𝗼𝗶𝗹𝗲𝗿 : 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟!
𝗦𝗮𝗻𝘀 𝗹𝘂𝗶, 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗮𝘀𝗵 ! 💸

À chaque fois que tu retires du 𝗰𝗮𝘀𝗵, ce n’est pas seulement un distributeur qui fait le travail.

COBOL est là, 𝗳𝗶𝗱𝗲̀𝗹𝗲 𝗮𝘂 𝗽𝗼𝘀𝘁𝗲, derrière chaque opération. 💵

C’est un peu comme 𝗹’𝗶𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗯𝗮𝗰𝗸𝘀𝘁𝗮𝗴𝗲 𝗱’𝘂𝗻 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗲𝗿𝘁 : essentiel pour que le 𝘀𝗵𝗼𝘄 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗶𝗻𝘂𝗲, même si on ne le voit 𝗷𝗮𝗺𝗮𝗶𝘀. 🎼

Et toi, surpris que COBOL soit encore aux 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 ?

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𝗘𝘁 𝘀𝗶 𝘂𝗻𝗲 𝗺𝗶𝗴𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗼𝘂𝘃𝗮𝗶𝘁 𝗵𝗮𝗻𝘁𝗲𝗿 𝘁𝗼𝘂𝘁𝗲 𝘂𝗻𝗲 𝗯𝗮𝗻𝗾𝘂𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹’𝗲́𝘁𝗲𝗿𝗻𝗶𝘁𝗲́ ? 🎃👻

Imagine.

𝗧𝗦𝗕, une banque britannique bien connue, décide de moderniser son système IT. Ils se disent : 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗿𝗲𝘀𝘁𝗲𝗿 𝘀𝘂𝗿 𝘂𝗻 𝗮𝗻𝗰𝗶𝗲𝗻 𝘀𝘆𝘀𝘁𝗲̀𝗺𝗲 𝘀𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲 𝗾𝘂𝗮𝗻𝗱 𝗼𝗻 𝗽𝗲𝘂𝘁 𝗺𝗶𝗴𝗿𝗲𝗿 𝘃𝗲𝗿𝘀 𝘂𝗻𝗲 𝘀𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗳𝗹𝗮𝗺𝗯𝗮𝗻𝘁 𝗻𝗲𝘂𝘃𝗲 ?

L’idée semble parfaite, non ? Sauf que tout ne se passe pas comme prévu. 🚨

En une nuit, ils décident de migrer d’un coup 𝟱 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗽𝘁𝗲𝘀 𝗰𝗹𝗶𝗲𝗻𝘁𝘀 vers une nouvelle plateforme. La migration devait moderniser l’ensemble de ses services bancaires… sauf que, dès le premier jour, la plateforme n’était pas prête. 🤦‍♂️

𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁 : des millions de clients sans accès à leurs comptes, des agences paralysées, et des transactions suspendues. Le chaos total. Les gens ne peuvent plus payer, gérer leurs finances, ou même contacter leur banque.

Pire encore, certains se retrouvent avec accès aux comptes d’autres clients !
Imagine le cauchemar. 😱 Digne d’un film d’horreur ! 🧛‍♂️

TSB, débordé, embauche en urgence plus de 𝟮 𝟬𝟬𝟬 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲𝘀 juste pour gérer le flot de réclamations.

Fraudes, pannes, erreurs de virements… tout est multiplié par 𝗰𝗲𝗻𝘁.

Au final, cette migration qui devait “𝘀𝗶𝗺𝗽𝗹𝗶𝗳𝗶𝗲𝗿” leur système leur coûte plus de £𝟯𝟯𝟬 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗼𝗻𝘀. Et les autorités leur infligent même une 𝗮𝗺𝗲𝗻𝗱𝗲 de près de £𝟰𝟴,𝟲 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗼𝗻𝘀 pour mauvaise gestion. 💰

Pourquoi cette histoire ? Parce que TSB est l’exemple parfait d’une migration 𝗺𝗮𝗹 𝗽𝗿𝗲́𝗽𝗮𝗿𝗲́𝗲.

Vouloir du neuf, c’est bien, mais parfois, le système existant fait mieux que résister. COBOL, par exemple, tient la route depuis des décennies dans les banques du monde entier.

Alors avant de tout changer, il vaut mieux peser les risques et se demander si l𝗲 𝗷𝗲𝘂 𝗲𝗻 𝘃𝗮𝘂𝘁 𝗹𝗮 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗱𝗲𝗹𝗹𝗲.

Et toi, comment aurais tu réagi face à une telle situation dans ton projet ?

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𝗠𝘆𝗵𝘁𝗲 𝗱𝘂 𝗷𝗼𝘂𝗿 : “𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗿𝗼𝗽 𝗹𝗲𝗻𝘁!” 𝗦𝗽𝗼𝗶𝗹𝗲𝗿 : 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗼𝗶𝗻 𝗱’𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗲 𝗰𝗮𝘀 ! 𝗔𝗹𝗹𝗼𝗻𝘀 𝗲𝗻𝘀𝗲𝗺𝗯𝗹𝗲 𝗱𝗲́𝗺𝗼𝗹𝗶𝗿 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗶𝗱𝗲́𝗲 𝗿𝗲𝗰̧𝘂𝗲 🚀

Parlons peu parlons bien!

COBOL a une réputation de 𝗹𝗲𝗻𝘁𝗲𝘂𝗿, mais les données montrent une toute autre réalité en termes de traitement des transactions.

Les systèmes mainframes basés sur COBOL, en particulier ceux de la série 𝗜𝗕𝗠 𝗭, traitent environ 𝟯𝟬 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗮𝗿𝗱𝘀 𝗱𝗲 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗷𝗼𝘂𝗿 à travers le monde! Ce n’est pas moi qui le dis mais IBM lui-même.

Ce qui en fait le socle des applications critiques dans des secteurs comme la banque et les assurances.

Pour montrer la 𝗿𝗮𝗽𝗶𝗱𝗶𝘁𝗲́ de COBOL par rapport à 𝗝𝗮𝘃𝗮, voici des données comparatives provenant de tests réalisés dans des environnements critiques, comme ceux d’IBM CICS pour le traitement transactionnel.

Dans une configuration typique sur serveur IBM z/OS, COBOL réalise des transactions avec un temps de réponse de 𝟭,𝟯𝟭𝟯 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝘀𝗲𝗰𝗼𝗻𝗱𝗲𝘀 par transaction, contre 𝟭,𝟯𝟴𝟭 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝘀𝗲𝗰𝗼𝗻𝗱𝗲𝘀 pour Java sur le serveur Liberty JVM et 𝟮,𝟬𝟯𝟭 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝘀𝗲𝗰𝗼𝗻𝗱𝗲𝘀 pour Java sur le serveur OSGi JVM.

Il s’agit des meilleurs sur le marché.

Pour faire simple, en 𝟮𝟰𝗵 cela fait sur 𝘂𝗻𝗲 𝘀𝗲𝘂𝗹𝗲 𝗺𝗮𝗰𝗵𝗶𝗻𝗲 :
1. 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 sur serveur 𝗜𝗕𝗠 𝘇/𝗢𝗦 : 𝟲𝟱 𝟴𝟬𝟯 𝟱𝟬𝟯 transactions
2. 𝗝𝗮𝘃𝗮 sur le serveur 𝗟𝗶𝗯𝗲𝗿𝘁𝘆 𝗝𝗩𝗠 : 𝟲𝟮 𝟱𝟲𝟯 𝟯𝟱𝟵 transactions
3. 𝗝𝗮𝘃𝗮 sur le serveur 𝗢𝗦𝗚𝗶 𝗝𝗩𝗠 : 𝟰𝟮 𝟱𝟰𝟬 𝟲𝟮𝟬 transactions

Si c’était encore les 𝗝𝗢, COBOL remporte la 𝗺𝗲́𝗱𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗱’𝗢𝗥 haut la main. 🥇

Alors, pourquoi cette réputation de lenteur persiste-t-elle ? 🤔

Peut-être parce que COBOL est 𝗱𝗶𝘀𝗰𝗿𝗲𝘁, mais derrière chaque transaction bancaire instantanée, chaque paiement sécurisé, et chaque transfert rapide, il 𝗮𝘀𝘀𝘂𝗿𝗲.
Là où les autres langages modernes ajoutent de la 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗹𝗲𝘅𝗶𝘁𝗲́, COBOL reste centré sur 𝗹’𝗲𝗳𝗳𝗶𝗰𝗮𝗰𝗶𝘁𝗲́.

En réalité, COBOL a prouvé sa rapidité dans les infrastructures critiques où chaque milliseconde compte. Lent? Ce mythe, c’est du passé. COBOL est une machine de course sous le capot des systèmes essentiels.Activez pour voir l’image en plus grand.

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𝗧𝗼𝘂𝘁 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 ‘𝗯𝘂𝗴𝘀’, 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗰𝗲 𝗺𝗼𝘁 𝗲𝘀𝘁-𝗶𝗹 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲́ 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝘃𝗼𝗰𝗮𝗯𝘂𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲 ? 𝗦𝗽𝗼𝗶𝗹𝗲𝗿 : 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗶𝗲́ 𝗮̀ 𝗹’𝗼𝗿𝗶𝗴𝗶𝗻𝗲 𝗱𝘂 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗽𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 ‘𝗯𝘂𝗴’ 😏

De nos jours, tout le monde parle de ‘𝗯𝘂𝗴𝘀’. 🐛

Dès qu’un logiciel plante, on dit qu’il y a un bug, comme si c’était devenu le coupable par défaut.

Mais sais-tu d’où vient ce mot qui est maintenant une partie intégrante de notre jargon ? Pour cela, faisons un petit voyage dans le passé. 🚀

𝗙𝗹𝗮𝘀𝗵-𝗯𝗮𝗰𝗸 𝗲𝗻 𝟭𝟵𝟰𝟳! Une équipe d’ingénieurs travaillant sur l’ordinateur 𝗠𝗮𝗿𝗸 𝗜𝗜 ( le plus avancé de son époque) de Harvard rencontre un problème : la machine ne fonctionne plus correctement.

Dans cette équipe, il y avait une certaine 𝗚𝗿𝗮𝗰𝗲 𝗛𝗼𝗽𝗽𝗲𝗿 : oui, la future 𝗺𝗲̀𝗿𝗲 𝗱𝘂 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 en personne!!

Après des 𝗵𝗲𝘂𝗿𝗲𝘀 d’inspection minutieuse (eh oui, pas d’IDE ou de débogueurs modernes à l’époque 😉), ils découvrent l’origine du problème : un 𝗽𝗮𝗽𝗶𝗹𝗹𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗻𝘂𝗶𝘁 s’était glissée dans un relais électromécanique.

Hopper et son équipe notent l’incident et parlent, pour la première fois, de “𝗱𝗲𝗯𝘂𝗴𝗴𝗶𝗻𝗴” pour retirer ce “bug” 𝗹𝗶𝘁𝘁𝗲́𝗿𝗮𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 coincé dans la machine ! 🦋 🛠️

Et c’est comme ça que le terme “𝗯𝘂𝗴” est entré dans l’histoire informatique.

Mais 𝗚𝗿𝗮𝗰𝗲 𝗛𝗼𝗽𝗽𝗲𝗿 ne s’est pas arrêtée là : elle a continué à innover, devenant plus tard la 𝗰𝗿𝗲́𝗮𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 , le langage qui fait encore tourner une grande partie des systèmes critiques de notre monde actuel. 🌍

Depuis ce jour, le mot “𝗯𝘂𝗴” est resté dans notre vocabulaire, et il est utilisé pour désigner tout 𝗱𝘆𝘀𝗳𝗼𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁, qu’il s’agisse de lignes de code récalcitrantes ou de failles dans nos systèmes complexes.

Quand tu traiteras ton prochain bug, rappelles toi que ce terme remonte à bien avant nos ordinateurs modernes, à l’époque de 𝗚𝗿𝗮𝗰𝗲 𝗛𝗼𝗽𝗽𝗲𝗿. 🐛

Et toi, quel est le bug le plus étrange que tu as rencontré dans tes projets ?
Partage tes anecdotes !

#COBOL #Bug #GraceHopper #HistoireTech #Debugging

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𝗦𝗶 𝘁𝘂 𝗽𝗲𝗻𝘀𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 𝗯𝗹𝗼𝗾𝘂𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝘁𝘂 𝗻’𝗮𝘀 𝗽𝗮𝘀 𝗲𝗻𝗰𝗼𝗿𝗲 𝘃𝘂 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗶𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝗲𝗻 𝘁𝗿𝗮𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗯𝗼𝗼𝘀𝘁𝗲𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗴𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀. 🌟

Beaucoup associent COBOL à un langage du passé, une 𝗿𝗲𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 qui aurait dû être remplacé par des 𝘁𝗲𝗰𝗵𝗻𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗺𝗼𝗱𝗲𝗿𝗻𝗲𝘀. 🏺

Pour la plupart, 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 𝗲𝘁 𝗶𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗰𝗼𝗺𝗽𝗮𝘁𝗶𝗯𝗹𝗲𝘀. Mais voilà où ils se trompent.

La réalité ? COBOL est en pleine 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 . 🔄

Ce langage n’est pas un 𝗳𝗿𝗲𝗶𝗻 à l’innovation, il est plutôt l’un des 𝗺𝗼𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 silencieux de la transformation numérique dans les grandes entreprises. 🚀

𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 ? Parce que COBOL est la base de systèmes critiques, des systèmes qui doivent rester fiables et performants .

C’est pourquoi 𝟲𝟰 % 𝗱𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀 choisissent de 𝗺𝗼𝗱𝗲𝗿𝗻𝗶𝘀𝗲𝗿 leurs applications COBOL plutôt que de tout remplacer.

Ce n’est pas un choix 𝗽𝗮𝗿 𝗱𝗲́𝗳𝗮𝘂𝘁, c’est une décision 𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗲́𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲.

Pourquoi 𝗿𝗶𝘀𝗾𝘂𝗲𝗿 de tout reconstruire quand on peut optimiser ce qui fonctionne déjà ? ⚙️

La modernisation de COBOL , c’est l’art de connecter 𝗹’𝗮𝗻𝗰𝗶𝗲𝗻 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂 : on prend des infrastructures 𝘀𝗼𝗹𝗶𝗱𝗲𝘀, qui ont prouvé leur fiabilité, et les adapte aux nouvelles exigences technologiques.

Cette approche permet aux entreprises de rester 𝗮𝗴𝗶𝗹𝗲𝘀 sans 𝘀𝗮𝗰𝗿𝗶𝗳𝗶𝗲𝗿 la stabilité.

C’est là que COBOL trouve toute sa place : il ne bloque pas le 𝗽𝗿𝗼𝗴𝗿𝗲̀𝘀, il la 𝗽𝗿𝗼𝗽𝘂𝗹𝘀𝗲, en assurant que les bases restent solides pendant que l’on adopte les innovations de demain. 💡

Peut-être qu’il est temps de 𝗿𝗲𝗰𝗼𝗻𝘀𝗶𝗱𝗲́𝗿𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 qui traversent le temps et qui continuent de prouver leur efficacité.

𝗔𝗹𝗼𝗿𝘀, 𝘁𝘂 𝘁𝗲 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗼𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀 𝘀𝗶 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 𝗲𝘀𝘁 𝘃𝗿𝗮𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘂𝗻 𝗳𝗿𝗲𝗶𝗻 𝗮̀ 𝗹’𝗶𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 ? 🤔

#COBOL #TransformationNumérique #Modernisation #StratégieIT #Futur

𝑆͟𝑜͟𝑢͟𝑟͟𝑐͟𝑒͟ : 𝑀𝑖𝑐𝑟𝑜 𝐹𝑜𝑐𝑢𝑠Activez pour voir l’image en plus grand.

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𝗧𝘂 𝘃𝗲𝘂𝘅 𝘀𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗾𝘂𝗶 𝗴𝗮𝗴𝗻𝗲𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘂𝗻 𝗰𝗼𝗺𝗯𝗮𝘁 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟 𝗲𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗹𝗮𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲𝘀 ? 𝗦𝗽𝗼𝗶𝗹𝗲𝗿 : 𝗖𝗢𝗕𝗢𝗟. 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 ? 𝗣𝗮𝗿𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝘂𝗶, 𝗶𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗼𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗹𝗮̀ 𝗮𝗽𝗿𝗲̀𝘀 𝟲𝟬 𝗮𝗻𝘀… 𝗲𝘁 𝗶𝗹 𝗻𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗽𝘁𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝗮̀ 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗿 ! 🥊

Les nouveaux langages sont comme des jeunes boxeurs prometteurs. 𝗥𝗮𝗽𝗶𝗱𝗲𝘀, 𝗮𝗴𝗶𝗹𝗲𝘀… mais ils manquent 𝗱’𝗲𝗻𝗱𝘂𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲. 🏋‍♂️

COBOL, lui, c’est le 𝘃𝗶𝗲𝘂𝘅 𝗰𝗵𝗮𝗺𝗽𝗶𝗼𝗻 qui a vu passer toutes les générations, et qui est toujours sur le 𝗿𝗶𝗻𝗴, en pleine 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲. 💪

Qui est vraiment prêt à parier contre lui ? 😏

#COBOL #ChampionDuMonde #Endurance

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